vendredi 30 avril 2010

Salon philatélique de printemps COLMAR









Fin des publications suite aux lettres reçues à l'occasion du Salon Philatélique de Printemps de Colmar.

Ci dessous la vignette spéciale LISA. Merci Arnaud.



Un merci tout particulier à Olivier pour son envoi.




France










Merci Stéphane pour ce courrier commémorant le "10e anniversaire de l'association les fleurs de la mémoire". (publié avec retard car mon scanner était indisponible quelques jours)

jeudi 29 avril 2010

Belgique










Merci Olivier pour ce courrier de Bruxelles.

mardi 27 avril 2010

Viet Nam








Merci Dao pour cette carte de Hanoï, Viet Nam.

dimanche 25 avril 2010

samedi 24 avril 2010

Turquie








Merci Baris pour ce courrier de Turquie.

vendredi 23 avril 2010

jeudi 22 avril 2010

Grèce









Carte de Grèce, merci Jacqueline

Grèce









Merci Jacqueline pour cette carte de Grèce.

mercredi 21 avril 2010

France









Merci Jean-Pierre pour cet envoi et ce beau "Renoir".

mardi 20 avril 2010

Taiwan - République de Chine








Merci George pour votre envoi en provenance de Taipei capitale de la République de Chine - Taïwan -

lundi 19 avril 2010

San Marin












Voici la première lettre de La République de Saint-Marin qui est le troisième plus petit État d’Europe après le Vatican et Monaco et le cinquième au monde après ces deux mêmes États, Nauru et Tuvalu. Merci beaucoup JEAN-PIERRE.

dimanche 18 avril 2010

Saint Pierre et Miquelon


Merci Jean-Pierre pour l'envoi de ce programme philatélique.

Pologne







Merci Andrzej pour cette lettre de Pologne avec le timbre édité à l'occasion des commémorations du massacre de milliers de polonais à Katyń en 1940



Pour les Polonais Katyn symbolise la politique criminelle du système soviétique envers le peuple polonais. Dans les relations polono-soviétiques dans les années 1917–1991 Katyn constitue un point de culmination. « Le massacre de Katyn » est une notion conventionnelle, relevant de l’un des endroits de l’extermination de l’élite polonaise pendant la Seconde Guerre Mondiale, l’endroit découvert comme premier – la forêt de Katyn près de Smolensk.
Le massacre de Katyn était un assassinat commis par les Soviétiques sur près de 22 mille citoyens polonais qui, après l’entrée de l’Armée rouge en Pologne le 17 septembre 1939, ont été faits prisonniers ou arrêtés. Conformément à la décision secrète du Bureau Politique (Politburo) du Comité Central du Parti Communiste de l’Union soviétique (les bolcheviks) du 5 mars 1940, près de 15 mille prisonniers, détenus dans des camps spéciaux de l’NKVD à w Kozielsk, Ostachkov et Starobielsk, ainsi que 7 mille personnes emprisonnées dans les prisons des régions ouest de la République de l’Ukraine et de la Biélorussie (c’est-à-dire, les territoires de la Pologne de l’est, incorporés dans l’Union Soviétique en 1939), ont été tués d’une balle à l’arrière de la tête.
La plupart des victimes étaient des citoyens importants de l’état polonais: des officiers de l’Armée Polonaise et de la police, des fonctionnaires de l’administration publique et des représentants des élites intellectuelles et culturelles polonaises. Ils sont morts, enterrés de façon anonyme dans des fosses de cimetière communes – dans au moins 5 endroits sur le territoire de l’Union Soviétique. Les prisonniers des trois camps spéciaux de NKVD ont été transportés en train en avril/mai 1940 aux lieux d’exécution: à Katyn (du camp de Kozielsk), à Kalinin (du camp de Ostachkov), à Kharkiv (du camp de Starobielsk). Ceux tués à Kalinin (aujourd’hui Tver) ont été enterrés à Mednoye. Les autres, détenus dans les prisons et y assassinés, étaient enterrés dans des endroits qui n’ont toujours pas été découverts; nous en connaissons deux sur le territoire de l’Ukraine et de la Biélorussie de l’URSS (Kuropaty près de Minsk et Bykownia près de Kiev).
Lorsque la guerre germano-soviétique a éclaté et des relations officielles entre le Gouvernement polonais en exil et le Gouvernement de l’Union Soviétique ont été nouées en été 1941, les autorités de l’URSS n’ont remis aux Polonais – malgré leurs efforts – aucune information concernant les personnes « disparues ». L’URSS a rompu l’alliance en avril 1943, lorsque l’armée allemande stationnant dans la région de Smolensk a découvert le cimetière dans la forêt de Katyn et a attaqué l’URSS par des moyens de propagande. Les autorités soviétiques ont répondu par une stratégie de l’accusation des Allemands qui auraient soi-disant tué les Polonais après leur entrée sur ce territoire en 1941. Staline, profitant du prétexte des « calomnies contre l’URSS », a rompu toutes relations avec le Gouvernement polonais en exil (à Londres).
« L’affaire de Katyn » a été l’un des secrets du Kremlin les plus surveillés pendant toute la durée de l’URSS. Lorsque après la Seconde Guerre Mondiale, lors des procès de Nuremberg, l’Union Soviétique n’a pas réussi à déverser le blâme du meurtre sur les Allemands (mais a pourtant évité de faire reconnaître les fautes de l’URSS), les autorités soviétiques ont adopté une position permanente contraire aux faits, celle du « mensonge de Katyn »: les Soviétiques n’auraient rien a faire avec le meurtre commis sur les officiers polonais – il faudrait accuser le fascisme allemand de tout …
Le massacre de Katyn ne constituait pas un évènement isolé. Il a résulté des différences systémiques, de l’ambition soviétique de créer un état de prolétariat global et de l’hostilité croissante entre la Russie soviétique et la Pologne de l’avant-guerre. Lorsque après la finale de la guerre polono-bolchevique en 1920, victorieuse pour la Pologne, les Soviétiques ont du abandonner pour longtemps l’exportation de leur révolution à l’Ouest, et Staline même était critiqué pour ses erreurs sérieuses sur le front polonais – les autorités soviétiques ont considéré le voisin ouest comme leur ennemi principal. Lors de la Grande Terreur en URSS dans les années 1937–1938, ayant pour objectif la pacification de la révolte antibolchevique couvant partout en Russie, les Soviétiques ont lutté contre les cercles polonais sur leur territoire avec une férocité étonnante. Plus de 70 mille Polonais (citoyens soviétiques) ont alors été tués d’une balle à l’arrière de la tête. Une victime sur dix de la Grande Terreur était liée à la Pologne. Le mécanisme des exterminations de masse en URSS a alors été perfectionné.
Lorsque en septembre 1939 Staline, après avoir noué une alliance avec Hitler, s’est attaqué à la Pologne qui luttait contre les Allemands, l’un de ses objectifs a été de détruire l’état polonais durablement. Dès le premier moment de cette agression, les Soviétiques ont isolé avec conséquence (ou tué sur place) ceux qu’ils considéraient comme représentants du groupe élitaire de l’état en destruction, surtout les officiers. On peur supposer que les autorités soviétiques avaient projeté leur élimination systémique à l’avance – comme l’avaient projetée les nazis dans « leur » partie de la Pologne occupée. Envers ces personnes arrêtées les Soviétiques n’ont pas respecté les normes de la loi internationale, ce qui était une autre raison pour leur insistance avec tant de consistance sur le mensonge qu’ils avaient formulé.
Après la rupture des relations avec la Pologne en 1943 et ensuite l’occupation de son territoire en 1944–1945, l’Union Soviétique a jusqu’aux années 80 du XX siècle contrôlé le pays subordonné, géré par des équipes marionnettes soumises à l’empire communiste. Dans cette période l’insistance sur la vérité sur Katyn était traitée comme un acte d’hostilité visé non seulement contre l’URSS, mais également contre la République Populaire de Pologne, puisque la Pologne d’après-guerre a été impliquée dans le « mensonge de Katyn ».
Après les transformations systémiques dans les bloc soviétique entier (1989–1991), l’insistance sur le dévoilement de la vérité sur Katyn est également apparue du côté russe. Beaucoup de Russes ont participé à la découverte de la vérité sur le massacre. Dans les années 1990–1992 les documents principaux sur Katyn ont été révélés, y compris la décision du Bureau Politique (Politburo) du Comité Central du Parti Communiste de l’Union soviétique (b) du 5 mars 1940, signée entre autres par Staline. En août 1993 un groupe d’historiens russes à Moscou a préparé une expertise complète, présentant de façon honnête le déroulement du massacre et le mensonge successif.
Les coupables du massacre n’ont jamais été condamnés. Bien que les noms de ceux qui ont pris la décision, ainsi que de plus de cent exécuteurs, soient connus (la liste des personnes rémunérées pour l’action de la « décharge des camps » à été annoncée), l’enquête du côté russe à été suspendue et les autorités russes refusent de commenter sur ce sujet. Personne n’a jamais été puni dans cette affaire et personne ne le sera plus.
Il existe une trace concrète du massacre – les trois cimetières construits par le Polonais – à Katyn, à Mednoye et à Kharkiv – où chacun des près de 15 mille prisonniers polonais est individuellement commémoré. C’est une exception parmi les cimetières restant après les crimes commis par les autorités soviétiques.

Zbigniew Gluza


Source: Gouvernement de Pologne

samedi 17 avril 2010

Maroc









Merci Beaucoup Christine pour cette carte de Marrakech (Maroc) affranchie avec un timbre consacré à la semaine de la solidarité (année 2009).

vendredi 16 avril 2010

France









Merci Daniel pour votre sympathique courrier.

Slovaquie










Merci beaucoup Milos pour cette très belle couverture de Slovaquie.

Indonésie







Série consacrée aux sommets. Merci Jean-Pierre